À Nicole Estérole.
Salut Nicole Estonrôle.
Du texte, du texte….
Mais à quoi sert la râloire-perenne (que par erreur un certain Montaigne écrivait branloire-perenne !) ? On peut par optimisme espérer qu’il s’agit d’une course contre la montre: Le temps impitoyable ferait sauter les vernis mondains flatteurs ?
C’est ainsi que Cézanne aurait fini par paraître un tout petit peu plus intéressant que ses contemporains, les méritants médaillés tels W. Bouguereau, ou Carolus-Duran (qui n’étaient pas les pires).
Les « plasticiens » ne travaillent plus pour le regard, ils paradent pour la camera vidéo-télévision.
Lorsque une technicienne de surface met à la poubelle des confettis, bouteilles vides et autres reliefs de fête dispersés au sol qui serait une « installation », les uns rient, les autres s’indignent : Ne faudrait-il pas plutôt se demander ce que signifie cette « méprise », de quoi elle est le symptôme ?
J’ai déjà ma non-carte de non-critique de la Non-Association des Acritiques des Non-Arts Associés (ou NAA-NAA… se non e vero…) dont l’acte fondateur et les archives sont écrites à l’encre sympathique, si sympathique que pour non-collaboration assurée elle s’efface à mesure qu’on l’écrit.
J’ai proposé un montage de certains de mes articles sous le titre (prétentieux il est vrai):
Pour la défense et illustration de l’Art Vivant
Un autoportrait à travers les autres…
Je m’étonne encore un an après de n’avoir même pas reçu une réponse. J’avais peut-être omis de donner mon adresse ? Et comme mon nom est inconnu…
Il me reste encore le courage sénile d’un peu jouer… Mais pas une page entière !
Au plaisir de vous lire
Marcel Alocco, Nice le 28 10 2015
Pour lire les mots de Nicole Esterolle : http://www.schtroumpf-emergent.com/blog/